Mon plus gros problème est ?

Bonjour,
quel est votre plus gros problème dans votre pratique du trail ?

Ma femme

Le travail, même si ça va mieux!

Le travail, même si ça va mieux!

+1.
(Sauf que là, ça se dégrade...)

Mon cœur (prolapsus mitral)
J'ai perdu 30% de VMA et j'ai des essoufflements m'obligeant à l'arrêt

Et la santé mentale n'est pas prise en compte en France.

Mon hygiene de vie

Mon âge.

Mon poids....(du coup le sucre, le gras et l'alcool!)

La frustration de ne pas pouvoir passer plus de temps à la préparation d'un premier

Mes pieds et leur peau de bébé...

Le poids moi aussi, si je pouvais baisser un peu, tout serait plus simple.
Pas pour aller plus vite, juste pour moins souffrir et rester plus longtemps en meilleur état.

L'assiduité peut-être, ce qui me fait freiner des 4 fers pour m'astreindre à suivre un plan d'entraînement pour un jour faire un marathon.

Que de souffrances cachées !
Et le plaisir dans toutes ces "contraintes" sportives ?

L'age aussi ,plus le physique de mes envies
arrivé à la retraite on croit avoir tout le temps de s’entraîner mais la machine ne suit plus.

Que de souffrances cachées !
Et le plaisir dans toutes ces "contraintes" sportives ?

Les "contraintes" citées sont loin d'être toutes sportives et pour le "plaisir", tient qu'à toi d'ouvrir un fil dédié.

mon plus gros problème en trail c'est les doigts engourdis (en cas de froid ou d'altitude), ce qui m'empêche d'enlever la peau du saucisson (au moins, je suis obligé d' opter pour un soce de qualité afin de pouvoir digérer la peau)

Ma femme

perso j'affinerais le truc en précisant que ce qui me bloque, c'est plus la culpabilité ressentie de laisser ma femme à la maison pendant que je prends le grand air et que quand je rentre je vomis sur le paillasson

Le vomis sur le paillasson, j'ai pas eu besoin du trail pour m'y mettre

Ma femme

perso j'affinerais le truc en précisant que ce qui me bloque, c'est plus la culpabilité ressentie de laisser ma femme à la maison pendant que je prends le grand air et que quand je rentre je vomis sur le paillasson

la culpabilité ou l'anxiété ?

Mon principal problème, c'est que "les forces du mal pénètrent les sociétés humaines lorsque leurs défenses immunitaires s'amenuisent. Ces forces latentes rodent dans le cosmos à l'affût de la moindre baisse immunitaire des sociétés humaines. Les terriens sont en train de subir leurs agressions. Les forces du bien, incarnées par la croyance en Dieu qui jusqu'à lors les protégeait, ont perdu toute vigueur et ont ouvert un boulevard à la maladie qui s'est installée et sont maintenant bien développée."

Et quelque part, ça fout la trouille.

(plaisanterie privée team modo)

Mon principal problème, c'est que "les forces du mal pénètrent les sociétés humaines lorsque leurs défenses immunitaires s'amenuisent. Ces forces latentes rodent dans le cosmos à l'affût de la moindre baisse immunitaire des sociétés humaines. Les terriens sont en train de subir leurs agressions. Les forces du bien, incarnées par la croyance en Dieu qui jusqu'à lors les protégeait, ont perdu toute vigueur et ont ouvert un boulevard à la maladie qui s'est installée et sont maintenant bien développée."

Et quelque part, ça fout la trouille.

(plaisanterie privée team modo)

La team modo est atteinte de "la maladie de l'intelligence humaine. Votre salut ne peut venir que de l'instance détentrice et émettrice d'intelligence : l'univers de métamatière."
Mais vous restez mes idoles

Mon principal problème, c'est que "les forces du mal pénètrent les sociétés humaines lorsque leurs défenses immunitaires s'amenuisent. Ces forces latentes rodent dans le cosmos à l'affût de la moindre baisse immunitaire des sociétés humaines. Les terriens sont en train de subir leurs agressions. Les forces du bien, incarnées par la croyance en Dieu qui jusqu'à lors les protégeait, ont perdu toute vigueur et ont ouvert un boulevard à la maladie qui s'est installée et sont maintenant bien développée."

Et quelque part, ça fout la trouille.

(plaisanterie privée team modo)

Mais ce quelque part existe t il vraiment ou il n'est que le fruit de notre imagination alors que nous ne sommes plus ...

Mon gros problème c'est que je pige rien au dossier "hydratation", et donc je n'arrive pas à faire une seule course de + de 5h sans avoir de gros souci

Mon plus gros soucis c'est les angoisses que j'ai longtemps traitées en bouffant des kilomètres et un buvant (trop de bières). Mais ça se soigne (en bouffant des kilomètres notamment =p )

Mon plus gros soucis c'est les angoisses que j'ai longtemps traitées en bouffant des kilomètres et un buvant (trop de bières). Mais ça se soigne (en bouffant des kilomètres notamment =p )

Et en buvant quelques bières, aussi...
(mais avec modération)

j'ai essayé les 2 options : je suis moins angoissé mais dans les 2 cas je vomis sur le paillasson !!

Mon plus gros soucis c'est les angoisses que j'ai longtemps traitées en bouffant des kilomètres et un buvant (trop de bières). Mais ça se soigne (en bouffant des kilomètres notamment =p )

Le mieux est de faire les 2 en même temps : Arrancabirra....ou Montagn'hard, au choix.

Un fantôme barbu qui me poursuit virtuellement sur mes sorties

de ne plus avoir envie de courir

De perdre du temps dès qu'il y a des ânes

Mon principal problème, c'est que "les forces du mal pénètrent les sociétés humaines lorsque leurs défenses immunitaires s'amenuisent. Ces forces latentes rodent dans le cosmos à l'affût de la moindre baisse immunitaire des sociétés humaines. Les terriens sont en train de subir leurs agressions. Les forces du bien, incarnées par la croyance en Dieu qui jusqu'à lors les protégeait, ont perdu toute vigueur et ont ouvert un boulevard à la maladie qui s'est installée et sont maintenant bien développée."

Et quelque part, ça fout la trouille.

(plaisanterie privée team modo)

j'avais loupé ce chef d'oeuvre de recyclage !

qui pourrait presque me faire oublier que mon plus gros problème en trail est la faiblesse de mon petit corps qui est inversement proportionnel au plaisir que je prends à pratiquer cette activité.

Le plaisir, c'est le plus important certes mais mon rythme de molusque va bientôt m'interdire de prendre le moindre dossard.
Heureusement qu'il y a les off : mais je culpabilise de faire attendre aussi longtemps les copains (ils sont gentils mais faut pas que j'abuse !)

Mon souci est la descente. Toujours peur de me péter la tronche ou de glisser sur une racine.
J'ai tendance à me fouler les chevilles...
Bon après le physique mais bon, vie de famille importante en ce moment donc entrainement 1 à 2 fois par mois et c'est tout....J'essaye de repartir en septembre avec 1 an pour me remettre en état de tenir 10-12 heures en montagne.

En trail c'est mon angoisse au moment du départ qui est telle que j'ai la bouche sèche les pulses au maximum et les guiboles flagada, ma hantise des départs rapides alors que je n'ai plus de jambes du fait de mes angoisses, de sorte que même à 11 km/h je suis à fond alors que je fais mes footings habituels vers 12km/ en moyenne. Ce handicap de départ me pénalise ensuite toute la course. Je n'éprouve pas ce sentiment au départ d'un marathon curieusement

Les mecs qui ouvrent des topics en espérant lire "la nutrition dans le sport est mon principal problème !"

De toujours être à la recherche d'un WC 15mn avant le départ..

Le travail.
D'une manière générale on nous fait culpabiliser en nous disant qu'on ne bosse pas assez et qu'en plus on ne fait pas assez d'exercice physique (patrons + politiques).
Mais pour nous aider à concilier les deux, il n'y a plus personne (une sortie à l'arrache entre midi et deux, avec douche et sandwich pris en mode stress pour ne pas revenir trop tard au bureau, ça ne compte pas pour moi ).

Mes bobos
Le découragement
La fatigue
Le boulot

Mes bobos
Le découragement
La fatigue
Le boulot

Ben ça, au contraire, c'est positif, c'est la résultante d'une activité.

Mon plus gros problème :

choisir si je pars avec les Speedgoat ou les Olympus