La Montagn'hard 2018 (74)

Un petit retour sur la course:
une organisation parfaite, une ambiance hyper conviviale et familiale, une météo de rêve et un parcours fantastique.
Un petit retour sur notre course:
Des kikous hyper abordable, sympas, solidaires. Un WE génial entre 5 amis lyonnais comme des poissons dans l'eau au milieu de cette marée rouge. De la souffrance et des joies, comme dans chaque course
Un petit retour sur ma course:
C'est le format qui me convient le mieux (MH60), donc le résultat est là. Je savais que j'avais la possibilité d'accélérer un peu, alors j'ai accéléré, et c'est passé... bon le classement reste modeste, mais je m'en satisfais pleinement.

Que du bonheur! merci merci et merci (ils se reconnaîtront)

On fait un beau sport....mais trop dur pour moi de cette manière là, je vais continuer sous une autre forme.

Faudrait faire des non-courses...

Qu'on pourrait rassembler dans une fédération internationale genre FINCourses

2) L'impréparation. Là, c'est Olivier qui m'a poussé cet argument, je ne l'avais pas en tête immédiatement. Mais, il a sûrement raison. Les mecs (et les filles), j'entends bien ceux d'entre vous qui nous la jouent "woa, tu sais, moi, un trail, je prends le départ, je m'en fous du parcours, je suis les balises et je prends comme ça vient, les roadbooks millimétrés, c'est pour les psychopathes". Ouais, OK. Je veux bien qu'on n'oblige personne à se taper des soirées devant des cartes pour fignoler le détail. Je sais que je suis un peu timbré de ça. N'empêche que, du coup, on ne se retrouve pas, comme des tas que j'ai croisés, à se demander "combien y'a de kilomètres jusqu'au prochain ravito" ou à dépendre d'un bénévole qui dit (sciemment ou pas) des conneries comme quoi y'a 2h30 de Bionnassay à Miage, parce qu'il ne sait pas que le parcours est différent de d'habitude. Un ultra du calibre de ce qu'était cette course (et qu'aurait-ce été si le parcours original avait été utilisé?), on ne l'aborde pas la fleur au fusil, désolé.

J'ai croisé un traileur du 130 (enfin 145 ) dans la montée du Joly qui pensait qu'il redescendait à la Bifurq et que c'était ceux du 60 qui montaient en haut du Joly.
J'étais assez halluciné, le gars il s'engage sur un ultra monstrueux et il ne sait même pas ce qui l'attend !
Il en était persuadé parce que l'année dernière c'était comme ça apparemment. Je lui ait dit que j'étais sûr de moi à 100% et quand on s'est quitté il avait toujours du mal à me croire. Il a du avoir une belle surprise un peu plus haut !

En tout cas oui effectivement tu es un psychopathe du roadbook, mais vu les écarts entre les profils fournis par l'orga et les tiens, et bien merci à toi parce que je m'en suis bien servis même sur le 65.

A Miage je reconnais bubulle qui discutais avec un gars en blanc. Il était assis à côté de moi depuis 5 minute haha, je n'osais pas trop l'aborder ça fait peut-être un peu creepy et je n'aime pas trop taper l'incruste mais j'ai quand même dis bonjour avant de repartir (si tu me lis, tu ne t'en rappelle probablement pas, un barbu en tshirt bleu, j'imagine que des dizaines d'inconnus ont du faire de même).

C'était moi ! Etalé un peu en plein milieu du ravito.

Tu aurais du me parler, ça fait du bien surtout quand on est dans le dur !
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Je savais dés le départ que ce serait compliqué car mon inscription sur cette course est totalement téméraire. Elle a été faite sur un coup de coeur (grâce à Kikourou) et non par la raison car :
- Mes débuts dans la course à pieds datent d'il y a 3 mois et que mes 5 malheureux dossards parisiens composés de trois 21km, d'un 11km et d'un 36km (couru blessé) ne valent rien face à une telle épreuve.
- Au delà de la distance, mon manque d'entrainement pour un tel dénivelé est criant (environs 6000m depuis janvier, alors que la course en comprend environs 5000m !).

Je me présente donc à St Nicolas de Veroce avec ma condition physique et mon mental, convaincu que j'ai les capacités pour aller au bout. J'ai prévenu mes proches presque au dernier moment que je m'alignait sur un trail dans les Alpes. Je leur ai envoyé le profil et le lien du suivi la veille du départ, car je savais qu'il me traiteraient de malade et qu'ils essayerait de me dissuader. Une fois sur place, ils ont pu me traiter de malade, mais ils n'avaient plus d'autre choix que de m'encourager à distance.

Je reviendrais dessus en détail dans le CR, mais mes genoux m'ont lâché assez tôt et tout est devenu plus compliqué, notamment en descente, après le Prarion. Les longs arrêts aux ravitos (facilement plus de 3h je pense) m'ont fait reculer progressivement, après un départ certainement trop rapide alors que je n'en avais pas l'impression sur le moment.
C'est avec des genoux totalement détruits que j'ai terminé ce trail monstrueusement exigeant, seul dans la nuit, au mental, et avec les nerfs qui ont un peu lâché sous l'arche d'arrivée vers 23h30.

Retour sur le format 60kms:
Je tenais vraiment a remercier les organisateurs et les BENEVOLES qui ont été extraordinaire tous le long de la course. On a vraiment été choyés.
Le balisage et l'organisation est impeccable.
J'ai adoré la montée/descente du Prarion et du Tricot.
Pour ma part, la course s'est faite avec deux amis "Vomito" et "Mon-ours" et elle s'est trés bien déroulée dans l'ensemble. On a pris grand plaisir sur une grande partie du parcours. Un peu de lassitude et de fatigue dans la descente après tré la tête et dans la dernière montée avant la bifurcation. Contrairement a certains, j'ai aussi vraiment apprécié la portion avant/après le pontet où j'ai pu déverrouillé les jambes et me laisser aller à courir dans un petit rythme sympas.
L'arrivée tous les trois a été magique et cette course, gràce a eux deux, restera gravée dans ma mémoire.
Merci les amis.

Bonjour et un grand bravo à tous les coureurs. J'ai suivi vos commentaires avec beaucoup d'intérêt.
Il est sûrement un peu tôt mais je pense à la saison prochaine et je voudrai profiter de votre expérience sur cette course.
Deux trails m'intéressent: l'ultra Lozère (sur deux jours, 2x54km 3200+2400D+, se déroule vers fin mai) et éventuellement la MH 60.
Qu'en pensez vous, ces deux trails sont ils trop rapprochés pour arriver suffisamment frais pour la MH qui est si dure ?
En vous remerciant.

Bonjour à tout le monde et bon courage à ceux qui, comme moi, se sont difficilement traînés au travail ce matin le corps meurtri.
Engagé sur le 42 (ou plutôt 44), que ce fût difficile...déjà suffisamment hard pour moi , 8h06 de douleur!
Une si belle course mérite bien un petit CR que je me ferai un plaisir de rédiger plus tard.
Bravo à tous !

Ah, un dernier retour (avant le prochain.... ). Avant cela, je me permettrai d'ajouter que, bien évidemment, la qualité de l'organisation est une fois de plus à souligner (tout le monde l'a déjà fait, on a l'impression de radoter mais ça fait sûrement toujours plaisir), que les bénévoles de la MH sont évidemment au top (même, allez, quand ils pataugent un peu sur les temps entre ravitos.....on ne demande pas à tous d'apprendre les roadbooks par coeur) et ce, d'autant plus que chaque année je m'y fait personnellement de nouveaux amis (et que pas mal de "vieux" amis sontn eux-mêmes bénévoles !)

Bref.....le énième retour....

Il faut probablement, un jour ou l'autre, décider officiellement si les bâtons sont interdits ou pas sur le début de course.

Le règlement est clair :
Les bâtons de marche sont autorisés à partir de Bionnay (km 5,6). Avant ce point, ils devront être portés sur le sac à dos, de manière à ne pas risquer de blesser un autre concurrent (protection des pointes conseillée).


Pour le 130 de cette aannée, Olivier a précisé "verbalement" (en fait ici même ou sur FB) qu'ils seraient autorisés à partir de Déchappieu.

On est d'accord ou pas, c'est une chose. Mais le règlement doit être le même pour tous. Alors, franchement, c'est particulièrement gavant de faire l'effort de ne pas prendre ses précieux appendices, de faire l'effort de les accrocher au sac (bien que des trois brins, à la main, ça ne gêne personne....et que des mono-brins sur le sac, c'est presque plus dangereux que dans des mains.....éduquées qui les portent pointes vers l'avant), de ne pas les sortir avant que ça ne soit permis......et de voir qu'une bonne partie du peloton n'en a rien à faire et qu'ils sortent au bout de 400 mètres.

Vous me direz : on peut tout à fait faire la remarque (gentiment) à leurs utilisateurs. Oui, mais voilà, le briefing d'avant-course be faisait pas ce rappel et on sait bien que seuls les imbéciles lisent les règlements. Et puis, c'est pas franchement la meilleure façon de démarrer une course que de s'embrouiller avec les autres coureurs (surtout qu'évidemment le public de la MH est largement constitué de coureurs respectueux) et de passer pour le chieur de service.

Alors, du coup, ma suggestion serait de choisir clairement entre deux options :
- autoriser les bâtons dès le départ. C'est en fait moyennement gênant car la densité du peloton est faible, quelle que soit la course.....et, franchement, "doubler" à tout prix sur la première côte, laissez moi rire.
- garder l'"interdiction", mais dans ce cas, le rappeler clairement au départ, ce qui me permettrait tranquillement d'embrocher ensuite les contrevenants (enfin, surtout à un autre dingo dans mon style vu que je ne risque pas d'embrocher grand monde, maintenant).

Et si on arrivait à cela, cette course où le respect entre coureurs est déjà très grand, n'en serait encore que meilleure.....

Allez, à mon tour de redescendre de mon nuage...

Je dis nuage, car en dépit d'une MH60 -> MH40, je ne retiendrai qu'une chose: j'ai passé un WE formidable en montagne !!! Un énorme merci à mes 4 acolytes (surtout) et à toutes celles et ceux croisés pendant ces deux jours. Et pis un clin d'oeil spécial à mon Tac international: on a peut-être pas terminé ce qu'on était venu faire, mais on l'a fait ensemble et c'est bien ça le plus important !

Comme Arclusaz l'a déjà dit, on savait qu'on allait faire une ballade JALBHAC (merci Bubulle, à la minute près le roadbook), et le tricot n'a pas pardonné notre coup de moins bien. Perso je savais (et je le sais toujours!) que je n'avais pas le niveau pour cette folie, mais je suis content de l'avoir tenté.

Merci à Olivier et toute son équipe: on se sent "à la maison" sur la MH et l'après course, le dimanche etc... c'est juste top.

Bon sinon Benman et Ewi sont trop modestes: ces deux avions vont aller loin et vite fin août dans les cailloux de Belledone, ils étaient tellement en forme après la course qu'on a failli les renvoyer faire une deuxième boucle

Bonne récup à tous et encore merciiiiii !

Bonjour et un grand bravo à tous les coureurs. J'ai suivi vos commentaires avec beaucoup d'intérêt.
Il est sûrement un peu tôt mais je pense à la saison prochaine et je voudrai profiter de votre expérience sur cette course.
Deux trails m'intéressent: l'ultra Lozère (sur deux jours, 2x54km 3200+2400D+, se déroule vers fin mai) et éventuellement la MH 60.
Qu'en pensez vous, ces deux trails sont ils trop rapprochés pour arriver suffisamment frais pour la MH qui est si dure ?
En vous remerciant.

J'ai fait l'ultra lozere cette année. Je ne connais pas la mH60 mais le secteur si. Mais tout ces commentaires donnent envie en définitive.
Je pense que cumuler l'ultra lozere et la MH est largement possible.

Perso au bout de 8 jours j'avais récupéré de l'ultra lozere. Fait il est vrai à une allure d'escargot.
Je pense qu'en deux mois tu peux récupérer largement de l'ul pour arriver frais à la MH.

Bonjour et bravo à tous les coureurs. Pour ma part, j'ai suivi la course au bord de la route. Mon épouse était alignée sur le MH60. Elle avait vraiment peur de ces montagnes alors elle s'est bien préparée en multipliant les sorties au dessus de vaugneray pour faire du dénivelé (merci jano pour les traces).
Merci à bubulle pour son raodbook suiveur, c'est super precis. J 'ai l'impression d'avoir fait aussi une petite course pour pouvoir être là à chaque ravito (toilles à pied et les chalets de miage en 40 min depuis la gruvaz).
L'accueil était toujours super agréable pour les coureurs sur les differents ravitos grâce à tous ces bénévoles.
Pour la course, j'ai suivi particulierement celle des 4 filles situées entre la 2eme et 5eme place. Elles étaient souvent proches aux differents points de passage. Mon épouse termine 4eme fille. Elle est assez fière de son bon classement au scratch (30eme). Nous avons passé un trés agréable week end à st Nicolas sur la course ou au coin du feu(resto/logement) où l'accueil a été au petit soin.

Après un WE mitigé quelques tentatives d'explication pour ce semi-échec....

Au niveau physique :

Je n'étais clairement pas préparé pour une telle épreuve malgré une belle saison de ski de fond puis de ski de randonnée jusque fin avril début mai.
Au printemps j'ai fait également beaucoup de vélo mais j'ai retardé le début de l'entrainement en CAP et donc le cassage de fibres.
Malgré quelques belles sorties en entrainement dans les Aiguilles Rouges j'avais peu de descentes dans les pattes et aucune course avant cette Montagn'Hard.
Le WE d'avant je suis allé me balader le long du 90 de Chamonix à l'envers sur la portion AR Cham-Plan de l'Aiguille - Montenvers et manque de chance je me suis fait une petite entorse à la cheville droite que je sentais encore au départ ce samedi matin. Dans la première descente vers Megève je me la suis retordue bêtement ce qui fait que dans toutes les descentes suivantes j'étais passablement tendu... Finalement ce sont les genoux qui ont crié pitié dans la descente de Tré-la-Tête.

Au niveau mental :

Le parcours anniversaire était vraiment géant et c'est pour cela que je me suis inscrit. Je savais que cela allait être dur mais l'idée d'aller en altitude était vraiment motivante.
Lorsque la décision a été prise seulement quelques jours avant le départ de ne pas faire les portions les plus alpines à cause des restes de névés j'étais forcément un peu frustré.
Je l'ai été d'autant plus que pour conserver le côté extrême de cette course Olivier et son équipe ont maintenu l'idée d'un parcours très long avec beaucoup de dénivelé. Et malgré tout le bien que l'on peut penser de courir en moyenne montagne je n'ai vraiment pas aimé l'idée d'un départ à minuit pour aller courir de nuit sur une route goudronnée du côté de Megève et revenir à quelques encablures du point de départ. Je conçoit que pour l'organisation des ravitos il fallait maintenir un timing en intégrant une rallonge en début de course mais un départ direct comme les éditions précédentes aurait été tout aussi bien. Je partais donc déjà avec un sentiment négatif.
Je ne m'étais pas assez imprégné du parcours pensant que ma connaissance du coin lors de mes deux participations en 2013 2014 suffirait. L'avant veille seulement je me suis fait un programme très optimiste en 24h00 basé sur mes temps de passages précédents or lorsque j'ai vu du côté du Mt Lachat que l'aventure allait plutôt durer 30h00 j'ai pas mal gambergé car je ne m'étais pas du tout mis dans la tête de passer deux nuits complètes dehors. De ce côté là je n'étais carrément pas investi... Je rejoins les commentaires précédents de Bubulle et Olivier... il faut vraiment s'imprégner de cette course.


Les plus et les moins du parcours :
Le départ à minuit n'était pas si mal mais l'étape vers Megève était de trop et en plus je me retord bêtement la cheville droite dans les premiers lacets de la descente...Un AR sur l'épaule du Joly aurait pu suffire, jute pour le plaisir de voir la colonne de lucioles derrière nous au-dessus de la vallée de l'Arve.
La première montée avant le ravito du Pontet a été également bien rallongée, j'étais tout seul à ce moment mais cela ne m'a pas trop dérangé. La descente sur la piste 4x4 était assez infâme pour les cuisses en début de course mais cela m'a permis de préservé ma cheville droite. On se retrouve à 3 au ravito mais je suis de nouveau seul devant pour toute la montée au Prarion avec un magnifique levé du jour sur le Mont-Blanc puis dans la descente vers Bionnassay que j'ai l'impression de faire au ralenti, étonné de ne pas me faire rattraper.
Toujours seul je remonte vers le col de Voza où je rattrape Seb Talotti qui accuse le manque de sommeil alors que le soleil pointe. Je descends vers les Houches de nouveau au ralenti attentif à ma cheville pensant me faire rattraper mais non...
J'apprécie la longue montée vers le Lachat sur un sentier que je ne connaissais pas mais pense aux suivants qui vont la trouver bien longue et sans point d'eau depuis Bionnassay.
De nouveau descente au ralenti vers la passerelle où je suis toujours seul et je remonte dans le long vallon vers le col du Tricot avec déjà un sentiment de retard important sur le road book que je n'ai pas pris avec moi. Le doute sur la suite commence dès lors à s'insinuer malgré une bonne place dans les 10 premiers.
Au col j'aperçois un gars à quelques minutes derrière moi et pense qu'il va me rattraper d'ici Miage ce qui ne se produit pas malgré une descente malaisée. Comme à chaque fois les bénévoles sont au petits soins au ravito, facile car je suis seul. Je suis annoncé 5e mais il semble que certains devant se soient trompés de parcours... dommage car le balisage était correct.
Je repars quelques minutes avant le gars qui m'a rejoint au ravito pensant qu'il va vite me rattraper mais je fais de nouveau toute la portion Chalet du Truc - descente - Vallon d'Armancette - Tré-la-Tête complètement seul mis à part le premier du 67 km qui me double rapidement dans Armancette.
Tout le long de cette portion, l'idée de faire près de 30 h de course au lieu de 24-26 me travaille mais je me laisse le temps de la réflexion jusqu'à la bifurque.
A Tré-la-Tête je bois une bonne bière offerte par le bagnard et repars toujours seul cahin caha vers Notre Dame de la Gorge, c'est dans cette descente que les genoux crient leur manque d'entrainement. Je suis enfin rattrapé vers la cascade proche de Nant Borand et le gars aimerait que je trottine avec lui jusqu'au ravito mais je suis incapable de le suivre dès que la déclivité de la piste s'accentue.
C'est décidé, je me repose un moment au fond de la vallée les deux pieds dans une bassine d'eau fraiche gracieusement apportée par ces dames du ravito, je me change mange un peu fait le plein d'eau et repars en direction de l'épaule du Joly.
Dans la montée j'ai plutôt pas mal d'énergie mais dans les moindres descentes les genoux coincent.
A l'épaule du Joly je suis 4e ou 5e mais sans regret je mets le clignotant à droite et rejoint St Nicolas en milieu d'après-midi.

Je ne m'étais pas assez préparé pour cette montagn'hard édition spéciale.

C'est mon deuxième abandon en course, le premier date de ma première expérience d'ultra où j'avais arrêté au bout de 75 km sur le 100 km de Steenwerck il y a plus de 20 ans... et c'était tout plat.

Bravo à toutes celles et ceux qui ont eut le plaisir de terminer cette course d'anthologie et merci à Olivier et à toute son équipe de bénévoles pour nous avoir proposé cette aventure.

Bonjour à tous,

Avant, tout, je tenais à remercier Olivier, tous les bénévoles de leur engagement pour cette course. De retour à Paris après cet arrêt prématuré au Pontet, je dois digérer et analyser cet abandon. Bon, l'entrainement parisien n'avait pas été top, pas de très grandes sorties, pas de weekend choc dans les Alpes comme l'année dernière mi juin où j'avais pu casser de la fibre et bien me préparer. Trop de boulot, des nuits pas très reposantes, des contraintes persos, bref, les conditions n'étaient pas là pour prétendre à faire le grand tour de 140 bornes. J'aurais sans doute du m'engager sur le 60...
Côté positif des choses, ce fut une bonne sortie d'entrainement, et de croiser tous les kikous sur la course m'a bien aidé! Mention spéciale @bubulle qui a du voir mon état de détresse est s'est occupé de moi aux ravitos J'étais dans un état lamentable... Je vais devoir sérieusement redresser la barre avant de partir à la réunion...

Bravo à tous les finishers en tous cas, vous avez été forts !

A propos du parcours, petit bémol sur la descente aux Houches puis la remontée au Lachat En fait, cette section entre Bionnassay et Miage fût longue, 5h30 pour moi de mémoire, et avec la chaleur qui commencait à monter, j'ai pas mal souffert.

Bon repos à tous !
Yves

Quel magnifique WE dans le massif du Mont Blanc ! Entre sacrée balade Montagn'hard le samedi et rando au sublime glacier d'Argentières dimanche...

Cette Montagn'Hard n'usurpe pas son nom ! Et même si je n'étais "que" sur le 60K (en fait pas loin de 66K) j'ai été surpris par le niveau de difficulté proposé sur un tel format. Des murs à monter. Des murs à descendre et bien peu de répits pour les cuissots hormis sur la portion du Pontet où il était jouissif de pouvoir enfin courir un peu.

Pour ma part de très bonne sensations jusqu'à Miage et puis ça a coincé un peu dans la montée à Tré la tête. Punaise ce refuge, ce bassin, cette bière, ce bagnard je désespérais de les voir un jour...

La fin de la course a été plus facile à gérer avec des jambes retrouvées même si le dernier coup de cul vers la bifurq m'a donné un petit coup au moral. Je pensais en avoir terminé avec le D+. Ben non. Restaient 200D+. Une paille...

Vraiment beaucoup de kikous sur cette course. C'est un peu le Hellfest de notre communauté... . Très sympa.

Un mot pour les fous furieux du 130 : Ce que vous avez fait est monstrueux. Immense respect. Avec une pensée spéciale pour Nath.

Je confirme tu peux enchaîner l ultra Lozère et la MH60. Je suis un coureur qui ne va pas très vite et j'ai enchaîné en 2017 l'ultra Lozère et le TGV en 4 semaines.
Je connais que trop bien la MH. Ça passe sans problème.
En plus ces 2 courses sont dans le même état d'esprit,Pas des usines, des courses faîtes par des traileurs pour des traileurs dans des paysages merveilleux.
Le bivouac à st Enimie est très convivial et la première étape superbe.
Quand à la MH ce n'est pas une course mais un accueil familial sous la direction d'Olivier et de tout un village qui se mobilise . La rencontre de kikous de tout les départements de France et qui renforcent ce sentiment de solidarité et de partage.

Maintenant revenons sur cette édition spéciale. Quel succès. Étant blessé je suis monté de la région parisienne pour donner un peu de temps en tant que bénévole. D'abord un super coup de chapeau à Olivier et ses complices. Ils effectuent un boulot énorme avec beaucoup de disponibilité pour les coureurs. Présent à Miage avec ma jambe de bois, certains me reconnaîtrons on a essayé de bichonner les coureurs dans une ambiance conviviale avec un accueil VIP pour les kikous.
J'ai fais des rencontres superbes de la bande des lyonnais ,des mordoriens, d'expatrié en GB et tout les autres que j'oublie. Ce fut 3 jours merveilleux où même si je n'ai pu courir la joie de voir les finishers franchir la ligne d'arrivée avec la banane a été pareil. Ils avaient le même mot "Qu'est que c'était beau mais pu..... qu'est ce que c'était dur" voilà ca resume bien cette course. Félicitations à tous les finishers ou non pour vitre participation. Grosse dédicace à Jacques ,Dan pour le balisage, Laurent et sa bière à gré la tête et vivement l'édition 2019.

En résumé pour reprendre les propose de Bubulle qui analyse si bien tout cela :

....

Alors, ma vision à moi :

1) Le départ : clairement, cela a été très difficile à gérer pour beaucoup (et moi aussi). Pourtant, ce n'est pas un peloton de perdreaux de l'année. Je suis sûr que presque tous avaient déjà géré ce type de départ. .... Et pour tous ceux, déjà, qui arrivaient le vendredi, ça rend les choses très compliquées, voire impossibles. niko3006 me disait qu'il a passé la journée de vendredi à se reposer et dormir, après être arrivé le jeudi. OK, il n'a pas "socialisé". OK, il pouvait (comme moi) se permettre d'arriver le jeudi. Mais, au vu du résultat, qui a raison, à votre avis ?

Le vendredi levé 5h30 pour aller bosser le matin avant de monter en fin de matinée manger sur place et prendre le dossard puis faire une microsieste, le tout après une bonne semaine de boulot. Cela n'aide pas au niveau de la fatigue générale. Arriver frais et reposé c'est en effet un plus indéniable.

....

2) L'impréparation. Là, c'est Olivier qui m'a poussé cet argument, je ne l'avais pas en tête immédiatement. Mais, il a sûrement raison. Les mecs (et les filles), j'entends bien ceux d'entre vous qui nous la jouent "woa, tu sais, moi, un trail, je prends le départ, je m'en fous du parcours, je suis les balises et je prends comme ça vient, les roadbooks millimétrés, c'est pour les psychopathes". ..... Un ultra du calibre de ce qu'était cette course (et qu'aurait-ce été si le parcours original avait été utilisé?), on ne l'aborde pas la fleur au fusil, désolé.

En effet un road book préparé à l'arrache deux jours avant la course sur des temps de passages d'il y a 4 ans et légèrement forcé pour que tout cela rentre en 24h c'est pas sérieux...

....

3) La difficulté du terrain. Oui, là on sait que le terrain de la MH, c'est déjà en temps normal une tuerie avec des côtes longues et très dures et des descentes qui ne sont certes pas le super technique type TAR ou EB mis, justement parce que souvent "courables" sont destructrices. ....

Clairement pas assez préparé pour cela, les genoux ont pris cher en milieu de course mais aujourd'hui tout est quasiment rentré dans l'ordre... c'est un manque d'entrainement spécifique en descente

....

4) La structure du parcours? ...., ceux-là savaient qu'ils allaient partir dans une immensité de solitude après la bifurcation 60/100.

Après les genoux qui ont été le facteur physique c'est ici LE FACTEUR PSYCHOLOGIQUE, après des heures à ne pas voir grand monde la fin de la première nuit et dans la journée (sauf aux ravitos et quelques randonneurs) je n'avais pas envie de connaitre des heures de solitude pendant toute la deuxième nuit. Et les expériences vécues en 2013 et 2014 (même si elles étaient positives alors) rentrent de façon négatives dans l'équation. Je n'avais pas envie de faire le voyage intérieur qu'Olivier et son équipe me proposait cette année.... Ce sera pour une prochaine

Merci à Bubulle pour ces réflexions.

Super week-end cette Montagn'Hard!
Quel plaisir de courir entre amis, de croiser autant de têtes connus, de partager tout ces instants magiques dans un décor de rêve!
Malgré tout pour moi, le sentiment qui domine est la frustration. Frustration de ne pas avoir pu faire ce que je voulais... J'étais franchement bien. Nickel. En forme. Les montées passaient super bien. Je gérais bien les descentes pour pas trop entamer les cuisses. J'etais parti pour aller au bout de ce 65!
Sauf que.... Débuts de douleurs à la cheville gauche en haut du Prarion. Je suspecte un tendon d'Achille un peu raide. Sauf qu'en enlevant la chaussure pour vérifier, c'est entre le tendon et la malléole, su la partie interne de la cheville que j'ai mal... Bizarre... Pas eu de torsion, j'ai limité les chocs autant que possible, je vois pas ce que ça peut être!
Je décide de continuer. A Bionnassay ça va pas mieux, mais je veux au moins me faire le Tricot, donc j'avance. Plutôt bien même. Sauf que quand je tire sur la cheville, faut que je sers les dents
Arrivé en haut du Tricot, je sais que je n'irais pas au bout de la course. Pas envie d'hypothéquer la prépa pour la Réunion.
Redescente à Miage, je laisse les potes, et rejoins un autre ami qui était sur le 40. On finit ensemble, moi tant bien que mal. Déçu de ne pas avoir boucler le 65, mais content d'en avoir fini.
Dimanche, la cheville a enfler. Pas de bleu, mais c'est raide, et douloureux. Pas mieux aujourd'hui. On verra l'avis du médecin ce midi.. :'(
Bravo à tout ceux qui ont fini! Bravo à l'orga, au top du début à la fin. Dommage cependant que les ostéo/podo/kiné qui devaient être là samedi soir entre 21h et 00h n'aient pas tenu leur poste...
Gros coup de coeur pour le jambon cru, et le fromage!
La Saint Yorre aux ravitos c'est parfait aussi!

Félicitations d'abord à ceux qui se sont engagés sur cette course, quel qu'en soit le format... cette Montagn'Hard est redoutable! Je vous ai suivi de loin après avoir participé l'année dernière, et ça donne vraiment envie de revenir.

Outre les possibles raisons déjà évoquées plus haut, un autre facteur psychologique, bien secondaire celui-là, qui pourrait expliquer en partie le faible taux de finishers : la possibilité de bifurquer.
Attention, je ne remets pas en question le principe de la bifurcation : c'est une bonne chose, sur ce type de course, de pouvoir prendre à droite (ou à gauche, ça dépend des années faut pas se tromper), ça rassure, on se dit qu'on abandonne pas vraiment, on fait juste une plus petite boucle... mais en course, quand la tête commence à trop réfléchir, on a peut-être moins de regrets à bifurquer qu'à abandonner (enfin, moi, l'année dernière, c'est ce qui m'est arrivé, basculant de la 60 à la 40) et on cède à la facilité. Ces bifurcations sont à double tranchant : c'est rassurant, mais ça peut donner de mauvaises idées

Petit retour de mon week-end à la Montagne ... Hard !!!

Côté sportif, vraiment pas terrible avec un abandon à Miage (même pas la moitié de ce qui était prévu) Avec un peu de recul, il m'a manqué un peu de physique avec surtout un manque de préparation en montagne. Début Juillet, c'est un peu plus compliqué d'être prêt pour une telle course mais je connaissais cette contrainte quand je me suis inscrit. La montée au Mont Lachat m'aura été fatale. Mais quand on arrête sans grosse blessure et avec encore une petite marge sur les BH, c'est que le mental n'a pas été à le hauteur Je garderai cette expérience qui me servira lors des prochaines courses

Perso plus que le départ à minuit, c'est le fait de pas mettre reposer le vendredi qui m'a pénalisé. En grande partie de ma faute car j'avais fait le choix d'arriver seulement le vendredi après-midi, de regarder la match de foot, ... Le petit + côté organisation, aurait été d'avoir accès à un endroit pour se poser avant le départ pour les touristes comme moi qui n'avaient ni voiture, ni logement (la salle des fêtes auraient été parfaites). Faute de repos merci à Antoine, Cheville et Mazout pour le bon moment passé à boire des cafés en attendant le départ

Côté plaisir, un grand, grand week-end avec pleins de kikous, une belle météo pour profiter des paysages magnifiques, des bénévoles au top, ... Malgré l'abandon, je retiendrai une belle virée en montagne avec une bonne soixantaine de km et 5000 m de D+

Enfin un grand merci au gang des Lyonnais pour leur accueil après mon abandon, j'ai vraiment kiffé ce samedi soir et ce dimanche en votre compagnie. BenMan encore merci pour le covoiturage et tu remercieras encore tes beaux parents pour leur accueil 5 étoiles

En résumé, on reviendra pour aller au bout

Bref retour sur le 60 avant d'aller me coucher...

Pas de prépa depuis 3 mois, pas de D+, je me demandais vendredi soir si j'allais prendre le départ ou proposer l'assistance à patoche...finalement je me dis que traverser la France pour ne pas tenter serait dommage. Je prends le départ fatigué. Dès le départ je décide de faire l'intégrale en marchant.

Expérience géniale en fait. J''ai pointé bon dernier au début et puis rapidement j'ai commencé à grapiller des places. Pas un mètre de couru.

Jusqu'à Miage je suis bien et puis lentement je rentre dans une agonie qui durera jusqu'au bout.

La dernière montée est un calvaire en compagnie de Jérôme et son frangin qui assure grave.

Je décide de faire la dernière descente en courant histoire de me faire plaize. Le pied total.

Je termine, je ne sais plus en combien de temps mais je termine.

HEUREUX!

Bravo Bart !

Bref.....le énième retour....

Il faut probablement, un jour ou l'autre, décider officiellement si les bâtons sont interdits ou pas sur le début de course.

Le règlement est clair :
Les bâtons de marche sont autorisés à partir de Bionnay (km 5,6). Avant ce point, ils devront être portés sur le sac à dos, de manière à ne pas risquer de blesser un autre concurrent (protection des pointes conseillée).


Pour le 130 de cette aannée, Olivier a précisé "verbalement" (en fait ici même ou sur FB) qu'ils seraient autorisés à partir de Déchappieu.

On est d'accord ou pas, c'est une chose. Mais le règlement doit être le même pour tous. Alors, franchement, c'est particulièrement gavant de faire l'effort de ne pas prendre ses précieux appendices, de faire l'effort de les accrocher au sac (bien que des trois brins, à la main, ça ne gêne personne....et que des mono-brins sur le sac, c'est presque plus dangereux que dans des mains.....éduquées qui les portent pointes vers l'avant), de ne pas les sortir avant que ça ne soit permis......et de voir qu'une bonne partie du peloton n'en a rien à faire et qu'ils sortent au bout de 400 mètres.

Vous me direz : on peut tout à fait faire la remarque (gentiment) à leurs utilisateurs. Oui, mais voilà, le briefing d'avant-course be faisait pas ce rappel et on sait bien que seuls les imbéciles lisent les règlements. Et puis, c'est pas franchement la meilleure façon de démarrer une course que de s'embrouiller avec les autres coureurs (surtout qu'évidemment le public de la MH est largement constitué de coureurs respectueux) et de passer pour le chieur de service.

Alors, du coup, ma suggestion serait de choisir clairement entre deux options :
- autoriser les bâtons dès le départ. C'est en fait moyennement gênant car la densité du peloton est faible, quelle que soit la course.....et, franchement, "doubler" à tout prix sur la première côte, laissez moi rire.
- garder l'"interdiction", mais dans ce cas, le rappeler clairement au départ, ce qui me permettrait tranquillement d'embrocher ensuite les contrevenants (enfin, surtout à un autre dingo dans mon style vu que je ne risque pas d'embrocher grand monde, maintenant).

Et si on arrivait à cela, cette course où le respect entre coureurs est déjà très grand, n'en serait encore que meilleure.....

Attention à ce que tu dis sur les personnes qui utilisent les batons un peu trop tôt...
J'ai des noms qui pourraient te mettre dans l'embarras

Les photos d'Elisabeth (je les ai aussi partagées sur FB sur l'événement "La Montagn'hard (74)") :

https://photos.google.com/share/AF1QipM ... 9Hck9kREFR

Elles tournent forcément un peu beaucoup autour de la famille kikourienne, vous vous doutez...

Les photos d'Elisabeth (je les ai aussi partagées sur FB sur l'événement "La Montagn'hard (74)") :

https://photos.google.com/share/AF1QipM ... 9Hck9kREFR

Elles tournent forcément un peu beaucoup autour de la famille kikourienne, vous vous doutez...

Ouais, ben moi, il faut que je trie d'abord.
Il y en 620.
Sur l'appareil photo.
Et 200 sur le téléphone...
Et aussi 4 sur l'autre appareil photo...(que j'avais pris "au cas où...")

Les photos d'Elisabeth (je les ai aussi partagées sur FB sur l'événement "La Montagn'hard (74)") :

https://photos.google.com/share/AF1QipM ... 9Hck9kREFR

Elles tournent forcément un peu beaucoup autour de la famille kikourienne, vous vous doutez...

magnifiques !!!!!!! quel talent. merci Elisabeth.

Il y en a une que j'adore, celle de deux papys qui refont le monde autour d'une bière . Le cadrage est parfait !

Les photos d'Elisabeth (je les ai aussi partagées sur FB sur l'événement "La Montagn'hard (74)") :

https://photos.google.com/share/AF1QipM ... 9Hck9kREFR

Elles tournent forcément un peu beaucoup autour de la famille kikourienne, vous vous doutez...

top

Hello les kikou,
Une course remplie de bonne choses et de surprises et, à plein de niveau :

- un week end en montagne en compagnie de copains que je vois rarement alors forcément ça fait plaisir lorsqu'on se voit sur une course comme celle là la grande messe du trail sympas

- toujours ces mêmes qui vous poussent dans la montée et même plus, même si ça n'a durer que quelques kilomètres, résultat j'ai cassé la malédiction de la BH, j'étais laaaarge pour une fois (3h de marge à l'arrivée) j'étais sur le 60km

- des bénévoles au top (quand j'ai vu la bière au tré la tête j'ai cru à une blague du bagnard, j'ai pas osé demander ...)

- j'ai enfin rencontré le Bubulle, en pleine action de coaching à Miage notamment, je crois que ça a du bien aidé le coaché, je ne les ai pas interrompu, mais pu taper le check juste avant l'arrivée

Bref que du bon malgré les jambes raides aujourd"hui, prochaine course, je remonte le col du Tricot après l'avoir descendu, oui parce que j'aime bien être complet ... TDS me voilà !

PS : vous avez combien à vos montre, moi 67km300 pour 4800 md+, plus long mais moins pentu que prévu non ?

yoshi

Les photos d'Elisabeth (je les ai aussi partagées sur FB sur l'événement "La Montagn'hard (74)") :

https://photos.google.com/share/AF1QipM ... 9Hck9kREFR

Elles tournent forcément un peu beaucoup autour de la famille kikourienne, vous vous doutez...

Super! Ça me fait repenser au fait que j'étais super étonné de la voir en arrivant à bionassay et qu'elle me dise que tu étais au ravitaillement...mais il est trop rapide ce Bubulle !
J'espère en tous cas que ton genou a tenu les allers retours !

Les photos d'Elisabeth (je les ai aussi partagées sur FB sur l'événement "La Montagn'hard (74)")...
Elles tournent forcément un peu beaucoup autour de la famille kikourienne, vous vous doutez...

top

tip top même

...PS : vous avez combien à vos montre, moi 67km300 pour 4800 md+, plus long mais moins pentu que prévu non ?

66,02km et 5600mD+....mais avec un parcours de pacer du 100

Les photos d'Elisabeth (je les ai aussi partagées sur FB sur l'événement "La Montagn'hard (74)") :

https://photos.google.com/share/AF1QipM ... 9Hck9kREFR

Elles tournent forcément un peu beaucoup autour de la famille kikourienne, vous vous doutez...

magnifiques !!!!!!! quel talent. merci Elisabeth.

Il y en a une que j'adore, celle de deux papys qui refont le monde autour d'une bière . Le cadrage est parfait !

+1
Nous avons eu le privilège d'être suivis par deux excellents photographes ...
Merci Elizabeth et à bientôt j'espère !

Bon 6 mois de prépa pour rendre le dossard au Pontet. La fatigue a eu raison de moi, ce départ à minuit a finit de m'achever après deux nuit compliqué au camping à cause des orages. Mais quel parcours de dingue nous a sorti Olivier, fallait être dans le jour de sa vie pour boucler ce truc. Les jambes étaient bien le lendemain, je suis remonté chercher ma copine qui finit avec les serres files, une équipe bien sympa d'ailleurs, merci a eux pour leur bonne humeur
Une mention spéciale à Bubulle et son road book, notre petite équipe d'assistance a pu profiter pleinement de la course grâce à toi (Megève, Les Plans, Les Toiles, Bionassay, Les Houches (oui oui) La Frasse et enfin au Pontet) pas mal hein

petit retour avant un CR plus complet.

Un super week end à 5 entre copains.
une nuit d'avant course courte, un départ sur les chapeau de roue et ensuite............tel Alexandrie mon talon brillait dans la nuit.
Brfe ampoule sous le talon droit depuis la déscente de La cha.
Je souffre jusqu'au pontet, pour au final dégoupillié dans la descente finale.
De super benévoles, de belles rencontres (Bubulle un peu partout, FWN au pontet) et d'autre bien sur.
Un peu frustré car moi qui ne suis bon qu'en descente .

Juste une petite critique , j'espérais bénéficier d'un podo à l'arrivé mais hélàs plus personne.
Dommage mais c'est pas bien grave.

François

Une mention spéciale à Bubulle et son road book, notre petite équipe d'assistance a pu profiter pleinement de la course grâce à toi (Megève, Les Plans, Les Toiles, Bionassay, Les Houches (oui oui) La Frasse et enfin au Pontet) pas mal hein

Cool qu'il ait servi à ce point....

Je crois que je les ai vus à Megève, je ne suis plus très sûr.

J'ai quand même croisé les doigts pour que personne ne se mette en tête d'aller se perdre dans le Beaufortain.

Faudra juste que je rajoute que l'accès à Bionnassay c'est quand même loin d'être simple, vu la route (surtout pour ceux du 60km car pour le 100 y'a moins du monde).

Les Toilles, ils l'ont fait en montant à pied ?

Un pote poste ça hier soir sur FB...

petit retour avant un CR plus complet.

Un super week end à 5 entre copains.
une nuit d'avant course courte, un départ sur les chapeau de roue et ensuite............tel Alexandrie mon talon brillait dans la nuit.
Brfe ampoule sous le talon droit depuis la déscente de La cha.
Je souffre jusqu'au pontet, pour au final dégoupillié dans la descente finale.
De super benévoles, de belles rencontres (Bubulle un peu partout, FWN au pontet) et d'autre bien sur.
Un peu frustré car moi qui ne suis bon qu'en descente .

Juste une petite critique , j'espérais bénéficier d'un podo à l'arrivé mais hélàs plus personne.
Dommage mais c'est pas bien grave.

François

On n’avait pas prévu de podologue car on n’avait trouvé personne. On avait prévu des kinés mais on s’est fait planter par l’école de kinés au dernier moment

Une mention spéciale à Bubulle et son road book, notre petite équipe d'assistance a pu profiter pleinement de la course grâce à toi (Megève, Les Plans, Les Toiles, Bionassay, Les Houches (oui oui) La Frasse et enfin au Pontet) pas mal hein

Cool qu'il ait servi à ce point....

Je crois que je les ai vus à Megève, je ne suis plus très sûr.

J'ai quand même croisé les doigts pour que personne ne se mette en tête d'aller se perdre dans le Beaufortain.

Faudra juste que je rajoute que l'accès à Bionnassay c'est quand même loin d'être simple, vu la route (surtout pour ceux du 60km car pour le 100 y'a moins du monde).

Les Toilles, ils l'ont fait en montant à pied ?

Ils sont montés aux toile en voiture, nous sommes allé voir la veille ou se garer donc pas de soucis car pas grand monde à cette heure matinale. On avait prévu encores tappes et le col joly, tant pis.

Ils sont montés aux toile en voiture, nous sommes allé voir la veille ou se garer donc pas de soucis car pas grand monde à cette heure matinale. On avait prévu encores tappes et le col joly, tant pis.

Oui, en fait, c'est tout à fait faisable, mes suiveuses l'avaient fait il y a 2 ans (et on avait aussi été "reconnaître"), mais il faut vraiment très peu de choses pour remplir les rares places disponibles. Du coup, cela ne peut pas se mettre sur un roadbook un peu "officiel".

Je m'interroge aussi, d'ailleurs, pour la suggestion "Bionnassay" car à une heure aussi matinale que nous y étions pour le 126km cette année, ça va, mais c'était déjà le bronx en repartant, avec plein de suiveurs du 63km qui montaient. En plus, on est tombés derrière un petit camion (boulanger ou équivalent) et j'ai cru qu'on n'arriverait jamais à descendre car le nombre de points de croisement tendait très vite vers zero.

Le nombre de places pour garer une voiture à Bionnassay est très faible et, surtout, c'est vraiment pas simple de se croiser sur la route. Cela sans compter que la course emprunte ladite route sur environ 400-500m en bas à Bionnay, on était un peu "gênés" d'ennuyer les coureurs du 63km en montant avec notre voiture.

petit retour avant un CR plus complet.

Un super week end à 5 entre copains.
une nuit d'avant course courte, un départ sur les chapeau de roue et ensuite............tel Alexandrie mon talon brillait dans la nuit.
Brfe ampoule sous le talon droit depuis la déscente de La cha.
Je souffre jusqu'au pontet, pour au final dégoupillié dans la descente finale.
De super benévoles, de belles rencontres (Bubulle un peu partout, FWN au pontet) et d'autre bien sur.
Un peu frustré car moi qui ne suis bon qu'en descente .

Juste une petite critique , j'espérais bénéficier d'un podo à l'arrivé mais hélàs plus personne.
Dommage mais c'est pas bien grave.

François

On n’avait pas prévu de podologue car on n’avait trouvé personne. On avait prévu des kinés mais on s’est fait planter par l’école de kinés au dernier moment

Pas de soucis Olivier je me doutais qu'il y avait une raison a J+2 mes ampoules sont soignées ou presque, et j'attend de voir le prochain bulletin d'inscription.
J'ai oublié de remercier l'ensemble des benévoles qui étaient 5 étoiles c'est une super course qui se mérite Merci pour tout encore

Petit retour sur ma MH60.
J'étais venu pour du paysage et ben la partie Prarion-Tricot fut splendide!!!
Sinon de très bonnes sensations jusqu'a Tré la tête puis la partie Pontet-Contamine fût un vrai calvaire, plus envie de courrir mais de dormir!!!! Puis la montée du Joly m'a reveillé, je n'avais plus le même rythme de la première partie mais c'est passé... J'ai bien compris pourquoi le "HARD"
Une grande admiration pour les courreurs du 130km ça me laisse admiratif et perplexe quand à mes capacités à y arriver un jour....

Les photos d'Elisabeth (je les ai aussi partagées sur FB sur l'événement "La Montagn'hard (74)") :

https://photos.google.com/share/AF1QipM ... 9Hck9kREFR

Elles tournent forcément un peu beaucoup autour de la famille kikourienne, vous vous doutez...

Super pour toutes ces photos!!! Merci, Elisabeth, tu nous permets de participer un peu!!!

Tzaaam : http://www.kikourou.net/recits/recit-20 ... mas74.html